On aurait pu penser que salariés et organisations syndicales, fortement sensibilisés par la disparition des emplois annoncés, ne pouvaient avoir un regard objectif sur le projet NICE, mais …
Les experts portent un jugement particulièrement sévère après analyse
400 pages d’étude de faisabilité,
un protocole d’accord,
des interviews en tous sens (managers, architectes, concepteurs etc …)
des comparaisons objectives avec les pratiques des Caisses d’Epargne et Banque Populaire
En plus d’être particulièrement destructeur d’emploi, ce projet pourrait mettre en danger les 39 caisses régionales, si rien n’est fait pour maitriser un niveau de risque jamais égalé.
Les réductions drastiques envisagées répandent le risque comme une trainée de poudre sur les plate-formes existantes et sur le système unique en devenir :
l’existant est abandonné à des informaticiens démotivés par la perte de leur métier, la disparition annoncée de leur bassin d’emploi
la cible est privée de compétences essentielles alors que la souche choisie pour sa résistance avérée sera fortement déstabilisée en un laps de temps ne laissant aucune marge de manoeuvre
la trajectoire menée tambours battants ne laisse pas davantage de marge et expose ainsi les CRs a faire les frais d’un système UNIQUE mal ficelé qui, à lui seul, pourrait mettre à genoux simultanément 39 CRs passant par la mauvaise ligne de code …
Cerise sur le gateau, la parternité d’une telle catastrophe pourrait être reprochée aux tristes artisans malgré eux de ce funeste projet.
Les experts le confirment : ce projet vise essentiellement à réduire les charges de personnels (plus de 40% en moyenne des postes informatiques dans un premier temps et au moins autant dans les sièges et les agences demain) alors qu’il nous semblerait préférable d’ambitionner le développement de nouvelles parts de marché, en s’attachant à investir dans des outils fiables parfaitement adaptés aux besoins de professionnels de la Banque, à l’écoute d’un nombre grandissant de clients frustrés par des services hyper centralisés, toujours plus éloignés. PLUS AUCUN DOUTE N’EST PERMIS CE PROJET EST
DESTRUCTEUR , DANGEREUX
C’EST UN FUNESTE PROJET
Il est grand temps de faire ce que l’on dit : "BACK TO COMMON SENSE,
IT’S TIME FOR GREEN BANKING"
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